Mon expérience

Mon appréciation

J’ai beaucoup aimé qu’Alexandra utilise ce meme pour décrire la situation actuelle que nous vivons tous. All is fine. On ne se rend pas compte qu’on est dans les problèmes jusqu’à ce que ça nous pète à la figure. Comme elle le dit si bien, comment penser aux problèmes de demain alors que l’on est même pas demain ?

Problème de société ?

La seule chose qui peut faire changer le monde de demain, c’est les gens qui seront assez courageux pour essayer. Et ça, Alexandra semble l’avoir bien compris. Mais pouvons nous, nous, en tant que webdesigner, changer ce monde. Au risque de vous spoiler, la réponse est oui !

Qu’est ce qui est le plus important, que ce soit dans un projet ou dans la vie de tous les jours ? La manière ou le résultat ? Car derrière de magnifiques illustrations, de superbes publicités, se cachent parfois des messages sombres (énergie fossile ou propagande de guerre). Même le meilleur projet du monde n’aura aucun impact s’il ne répond pas à la question  : « est-ce la meilleure solution pour mon problème ».

Problème écologique ?

Aujourd’hui nous vivons dans un monde qui perd petit à petit ses ressources, un monde dans lequel nous ne pouvons plus arroser nos pelouses l’été, dans lequel le prix de l’énergie ne cesse d’augmenter.

Comment faire alors ? Allier technologie et écologie.Mais est-ce possible? Oui. Est-ce que ça sauverait le monde ? Malheureusement non. Mais ça y contribuerait !

Des solutions

Nous pouvons nous former, apprendre comment faire du nouveau grâce et à la manière de l’ancien. Il faut regarder ce qui était avant pour savoir comment le faire mieux plus tard.

Se rendre compte que nous pouvons faire changer les choses. Lorsque je faisais mes études d’instit, je faisais chaque mois des journées vertes. Sans projecteur, sans technologie. Je prenais plaisir à me rendre compte que les jeunes, même de 10 ans, avaient envie d’apprendre et de rendre le monde meilleur.

Lire. Alexandra le disait, le monde ne lit plus. Lire, c’est s’informer et la première solution contre le désengagement moral, c’est l’information, le savoir.

Conclusion

Je ne sais pas si je me rends bien compte du rôle que j’ai à jouer pour le futur. Et je pense que même si je le saisissais demain à mon réveil, je n’aurai pas l’influence nécessaire pour mettre en place des solutions concrètes et durables. Mais c’est dans cette optique que je veux travailler. Travailler en rendant le monde meilleur, et pour se faire, la meilleure solution est d’être moi-même un agent de changement.

Mon équipe

Ce projet à été réalisé en partie en groupe. Etant arrivé en retard, je n’ai pas pu vraiment faire connaissance avec mes camarades. je vous invite tout de même si vous le désirez à découvrir leur vision du projet :